Un programme minceur digne d’une perte de poids prend en compte non seulement un programme alimentaire, mais surtout un programme sportif. Pour affiner la silhouette, la pratique des sports s’impose ainsi. Le ski alpin ou ski de piste est une des activités sportives les plus recommandées dans le cadre d’un programme sportif perte de poids. Tour d’horizon des étapes à suivre pour parvenir à bien maîtriser ce sport de montagne.
Étape 1 : s’entraîner à marcher avec les skis
Le premier geste à adopter pour faire du ski alpin est d’apprendre à marcher avec les skis. Il suffit de veiller à ce que les skis soient parallèles, et vous avez à marcher de cette manière à l’aide de vos deux bâtons.
Vous avez besoin de vous incliner en avant et ainsi jeter votre poids en arrière. Cette pratique ne peut se faire que sur une surface plane. Dès que vous parvenez à bel et bien vous entraîner avec les skis en parallèles, rien ne vous empêche d’apprendre à skier sur une piste verte. Avec la phase d’apprentissage de la marche avec les skis, il est difficile d’espérer perdre beaucoup de calories et de cellulites. La perte des kilos ne peut se constater qu’à partir de la pratique de la piste verte.
Étape 2 : apprendre à skier sur une piste verte
Vous n’avez qu’à vous rendre vers la station principale et choisir la piste verte, qui est dédiée aux débutants en ski alpin. Vu que la piste verte est très simple, elle est surtout destinée à vous aider à faire la technique de ski alpin la plus simple : chasseur neige.
Les tournants sont moins nombreux avec la piste verte, mais vous avez besoin de vous habituer déjà à faire le bon virage. Ainsi, il vous faut vous incliner plutôt vers la direction où vous voulez virer pour éviter de perdre le ski ou les bâtons.
Étape 3 : skier sur une piste intermédiaire
Pour faire du ski alpin, le choix des gestes à adopter ne doit pas casser la tête, car il suffit de passer par une piste plus facile et finir par s’aventurer sur la piste la plus difficile. La deuxième piste qui succède la piste verte, c’est la piste bleue, dite intermédiaire.
Les pentes de la piste intermédiaire sont plus inclinées, comparées à celles de la piste verte, et il existe quelques petits obstacles.
Ce qui nécessite plus d’énergie pour pouvoir skier sans pour autant occasionner de la douleur aux articulations.
Étape 4 ; se permettre de skier sur une piste rouge
La piste rouge est l’aînée de la piste intermédiaire, nécessitant plus de concentration. Il n’est jamais recommandé d’opter pour le panneau rouge si vous ne maîtrisez pas encore très bien la piste bleue.
Avec la piste rouge, non seulement les pentes sont assez abruptes et étroites, mais aussi des obstacles divers se présentent tout au long du trajet. Vous avez ainsi besoin de vous incliner bien vers l’avant, et bien jeter chacune de vos pieds en arrière, de manière à veiller à ce que les jambes ne sont pas trop écartées, l’une de l’autre.
Étape 5 : s’aventurer sur la piste noire
La piste noire : c’est la plus difficile de toutes les pistes. Sa pratique nécessite non seulement une concentration accrue, mais aussi une rapidité exceptionnelle. En effet, hormis les pentes de plus en plus inclinées et assez étroites, les obstacles sont très nombreux : vous pouvez rencontrer une cinquantaine de bosses depuis votre station jusqu’à votre destination.
Même si vous pensez maîtriser la piste rouge, il se peut que l’un de vos skis soit perdu en cours de glisse et vous risquez probablement de tomber de temps en temps. Cela ne doit pourtant pas vous décourager. Il faut plusieurs reprises pour finir par maîtriser la piste noire.
À retenir :
Le ski est une activité sportive à risques : il est important de prendre toutes les mesures de sécurité qui s’imposent pour ne pas risquer un accident.
Ainsi sachez que les indications des panneaux diffèrent d’un pays à un autre. Vous n’avez qu’à vous renseigner à l’avance sur le degré de difficulté de chaque piste ; des panneaux doivent toujours exister sur les bords des pistes.